Sonate des oiseaux blancs

16,00 

Catégorie :

Résumé :

« Souvent différent, il avait toujours été considéré comme étranger, d’abord à lui-même. Il s’était maintes fois cherché dans une définition, errant de sa mère adoptive à ses souvenirs diffus ; puis, lassé, s’était finalement accepté comme un croquis inachevé. Son enfance passée à Annecy était un mélange de complicité grenadine avec une sœur qui lui était chère, d’arôme réglisse de l’abandon et de cahiers froissés en avions de papier au cours des longues heures de classe. On lui avait souvent ordonné de devenir quelqu’un à coups de stylo et de maîtres en colère ; il avait cherché à se trouver lui-même à force d’évasions rêveuses. »

Dans une écriture littéraire semblable à celle de Maupassant, avec une sensibilité moderne, Olivia Metral nous emporte, nous bouscule et nous surprend. Elle fait preuve d’une inventivité et d’un sens de la construction narrative qui ancrent ce texte dans la littérature française. Elle nous confronte aux différentes facettes de notre intérieur en s’adressant à nous à travers le parcours de plusieurs hommes et femmes projetés entre noirceur et lumière.

On s’émeut, se questionne, s’égare et finalement tout s’éclaire. Un brin de folie, quelques rayons de soleil, trois notes de musique et l’être s’oriente vers la clarté. Vers ces oiseaux blancs que tous rencontrent un matin sur leur chemin.

Un premier roman choral rédigé d’une écriture parfaitement maîtrisée par une jeune femme qui, à l’évidence, connaît bien les méandres de l’âme humaine.

Cet ouvrage a été un vrai coup de cœur du comité de lecture de notre maison d’édition. « C’est pour cela que nous faisons ce métier ! » nous sommes-nous écriés.

Arguments de vente

« Olivia Metral nous entraîne dans son univers à travers une succession de nouvelles. Chaque pièce qui semble indépendante forme en fait un puzzle étonnant. Nous sommes pris par l’incompréhension, l’étonnement, l’admiration. Nous sommes bousculés ou émus par ce que nous découvrons.

La lecture de chaque épisode est en soi un voyage intérieur mais à la découverte de la clef de voûte alors l’histoire prend une autre dimension et le roman devient grandiose. L’obscur n’est pas mauvais mais il est sombre, la lumière ouvre sur l’espoir et l’on passe d’un côté à l’autre chahuté mais au bout du compte, ravi.
Comme Martin Scorcese dans « Shuttle Island » nous balade entre délire et réalité, Olivia Metral, dans ce premier roman, nous embarque entre intrigue psychologique et romance mélodique ».

• Une écriture littéraire semblable à l’œuvre de Guy de Maupassant, avec une sensibilité moderne…

• Une construction narrative qui encre ce texte dans la littérature classique.

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.

Soyez le premier à laisser votre avis sur “Sonate des oiseaux blancs”

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *